En effet j'ai connu Dominique Hoppenot avec laquelle je me suis toujours senti sur la même longueur d'onde ayant aussi réalisé une démarche personnelle sur l'approche de mon instrument assez similaire à la sienne.
Même si je n'ai pas personnellement assisté à ses cours ni travaillé, à proprement parler, avec elle et s'il m'est difficile d'entrevoir un parallèle avec ma propre démarche d'autant que nous ne pratiquions pas le même principe sonore, nos vues pédagogiques se rejoignaient sur bon nombre de points.
C'était plus une reconnaissance mutuelle et une compréhension partagée qu'une pratique commune sur des points précis, et évidemment nous marchions sur la même route...
Voilà ce que je peux en dire aujourd'hui et regretter, avec ceux qu'ils l'ont approchée, sa disparition qui fut une grande perte pour la pédagogie du violon (même si l'on sait qu'elle fut décriée de son vivant,comme le sont toujours ceux qui ne sont pas conformes au modèle unique et reconnu par le dogme social en vogue à son époque).